Les liens réciproques ont eu la cote pendant plusieurs années. Cette notoriété est due au faite de l’efficacité de cette pratique. En effet, en s’affiliant, les sites cumulent un volume de trafic et de visibilité assez conséquents. Suite aux déboires de certains sites web, les moteurs de recherches ont mis à jours leurs politiques d’utilisations. À l’heure actuelle, l’échange de liens n’est plus autant plébiscité qu’auparavant, mais il reste tout de même une stratégie emblématique.
Qu’est-ce qu’un lien réciproque ?
En termes de SEO, le lien réciproque découle d’un échange équitable de lien entre deux sites web. Concrètement cela se traduit de la manière suivante, un site X veut par exemple accroître son positionnement, il choisit donc le site Y qui aborde à peu près les mêmes sujets que lui. Le site X va alors prendre contact avec le propriétaire du site Y pour son projet. Si le site Y accepte, les sites X et Y vont émettre des liens menant chacun vers leurs sites respectifs. Ainsi, lorsqu’un internaute atterrira sur le site X, il pourra également visiter la page du site Y et inversement.
Les liens réciproques ont pour objectif de rapporter un maximum de trafic et de pertinence. Ils peuvent également donner des informations supplémentaires aux internautes.
Quelles sont les limites des liens réciproques ?
Les liens réciproques ne sont plus aussi performants qu’avant même s’ils demeurent plus ou moins importants dans les stratégies de référencement. De fil en aiguille, leur valeur a décliné avec les updates des algorithmes des moteurs de recherches, particulièrement ceux Google.
Ainsi, les liens réciproques ne sont plus aussi importants dans le calcul de pertinence, bien au contraire. Les algorithmes de Google sont devenus plus techniques et plus performants. De ce fait, il leur est facile de détecter un site faisant appel à un échange de lien. Pour éviter les sanctions, il est fortement déconseillé d’intégrer une masse importante de liens réciproques.